Aida - Menú

An intimate dining experience. Quite exceptional. You get to watch fully Chef Aida prepare and cook the food you eat. Quite a unique experience. Strangely, the Omakase dinner does not include any dessert.

Je reviens chaque année avec plaisir chez Aida. Encore un dîner superbe avec des découvertes et de nouvelles émotions.Le chef officie avec brio et discrétion. Le meilleur repas japonais de mon séjour à Paris.

Nous avons dîner dans le petit salon décoré à la japonaise, ce qui nous donnait l'impression d'être dans un manga.Nous avons pris le menu aida: tout est délicieux ; les saveurs sont extraordinaires.Nous avons été toutefois un peu déçus par les quantités au regard des prix pratiqués.Bonne expérience

Cuisine gastronomique japonaise dans un Teppanyaki traditionnel, 14 couverts, 1 salon privé de 4 couverts. Une cuisine d'exception. Menu découverte, nous avons arrêté de compter mais je crois qu'on en a dégusté une dizaine... tous incroyable, les oursins & l'ormeau, l'huître panée et sa sauce tartare & caviar, le carpaccio de bar et la truffe du Périgord, etc.... Je recommande... mais attention à l'addition, un tel dîner a un prix.

Seul japonais etoilé de Paris. Prix exhorbitant d'un trois étoile: 160 euros pour le menu lowcost et 280 euros pour le vrai menu Okamase.Clientèle intégralement nipponne. Le fait de voir les plats du menu a 280 euros se preparer devant vous rend l'experience terriblement frustrante si vous prenez le menu à 160. J'ai donc a la fois le gout umami dans la bouche mais un saveur d'amertume et sentiment d'avoir payé trop.Grosse erreur de la serveuse également: elle ne reservait pas le thé spontanément...

Dans la tradition des "grands" restaurants japonais, Aïda est un tout petit endroit qui n'accueille pas plus de 8 convives à la fois, qui prennent place autour du comptoir derrière lequel le chef officie (à moins que vous ayez réservé le petit salon pour un dîner privé-4/5 personnes max). On assiste ainsi à la préparation millimétrée de chaque plat, et chacun est un petit délice de délicatesse et de raffinement - poisson crû bien sûr mais aussi champignons, ris de veau, oursin , etc un beau voyage. Le tout accompagné d'une très belle carte de vins ou de très bons sakés. A savoir quand même : les prix sont en rapport avec la qualité : élevés.

C'est un restaurant particulier. Vous vous retrouvez invité dans la cuisine du chef, ce qui vous donne l'immense avantage de pouvoir voir se préparer vos plats devant vous. Et comme il y a peu de convives, on peut même, sans doute, parfois, y trouver une ambiance conviviale. Attention cependant: âmes sensibles s'abstenir: le homard se fait dépecer vivant sous vos yeux, le poulpe s'agite encore sur la salamandre... c'est prestement préparé, plutôt très bon... mais à la fin, on se surprend à être un peu déçu. D'abord des prix, très élevés, ensuite de ces nombreux plats qui cherchent plus à sublimer un seul goût, qu'à créer un assemblage de saveurs différentes. Ce n'est pas le cas pour tous, et...

... un très grand Chef nippon, dans la tradition, tout à fait... dîner au bar, dans une atmosphère purement japonaise, face au Chef qui assume l'entier service avec bonhomie et un geste sûr, absolument... Menu Omakazé splendide, carte des vins juste extraordinaire pour les amateurs de Bourgogne, comme pour les amateurs de grands Champagnes (Selosse)...Belle maîtrise du geste, des sashimis parfaits (qu'il s'agisse de poissons ou du veau de chez Hugo Desnoyer), des sushis parfaitement et délicatement faits (un nori exceptionnel, un wasabi râpé minute...), des produits d'exception (croquettes de ris de veau, thon rouge étourdissant, rougets et langouste inouïs...)... et une grands maîtrise du T...

Incredibly disappointing and frustrating experience. We had been eagerly anticipating our meal at Aida. The reality was far from the expectation. While the food was clearly of high quality, and very lovingly prepared, there was nothing exceptional about it. The service was fine. The experience was deeply disappointing. The value was abhorrent. From the moment we entered the room (an 8-person bar surrounding chef), the experience was frustrating. Seated at the head of the bar was a bellicose man who spoke so loudly as to drown out the rest of our conversations, let alone our thoughts. His conversational companion was the chef. Perhaps, it was the opportunity to speak in his native tongue (Jap...